Rescue Diver | Dune Atlantis Bali

PLONGÉE DE-SAUVETAGE

Les nouveaux sauveteurs plongeurs demandent souvent s’ils ont le droit de donner de l’oxygène à un patient en cas d’urgence ou si cela pourrait impliquer des complications médicales. Interrogations légitimes, mais dans le cadre de la plongée, administrer de l’oxygène en cas d’urgence n’est pas vraiment un problème.

Dans la plupart des domaines, il n’y a pas de règles interdisant l’achat d’oxygène médical pour usage d’urgence, ou d’en administrer. Certains indique que le sauveteur doit être entraîner auparavant dans l’administration d’oxygène (Plongeur sauveteur PADI et/ou autres certifications équivalentes à oxygène provider dans le cadre de plongée d’urgence). Tant que le patient est conscient, dans la plupart des pays il n’y a rien d’illégal dans le fait de fournir de l’oxygène en cas d’urgence lors d’une plongée (si le patient est inconscient le droit est implicite).

Seulement quelques pays interdisent de donner de l’oxygène en urgence.

Il a été pensé que donner de l’oxygène à un plongeur pouvait empirer certaines conditions médicales, mais certains doutes persistent désormais. Néanmoins, ces conditions incluent les emphysèmes et autres maladies pulmonaires qui nuisent au patient de manière significative. Les personnes souffrantes de ces maladies ne peuvent pas plonger. Des individus en bonne santé peuvent souffrir d’irritations pulmonaires s’ils respirent de l’oxygène fortement concentré pendant trop longtemps (mais cela implique plusieurs heures). Plus que souvent, le patient sera sous soins médicaux professionnels, ou manquera d’oxygène d’urgence d’abord. Par conséquent, d’après les recommandations du réseaux d’alerte des plongeurs (DAN, Divers Alert Network) et les protocoles courants de soins d’urgence, vous n’avez pas à vous inquiétez d’empirer l’état de santé d’un plongeur en lui administrant de l’oxygène en urgence lors d’une plongée.

Une crampe est une contraction soudaine et involontaire d’un seul et même muscle ou d’une série de muscles. Cela peut arriver lorsque le corp humain perd temporairement sa capacité à contrôler le muscle.

Les raisons les plus communes de l’arrivée d’une crampe est un manque de potassium (que le corp utilise pour le contrôle des muscles), la déshydratation (qui altère la disponibilité de potassium et autres minéraux) et le manque de forme physique dans le groupe du muscle affecté lors de l’exercice. Toutes ces raisons peuvent contribuer à une crampe de façon simultanée.

Pour prévenir les crampes, il faut penser à toujours rester bien hydraté (ce qui réduit aussi le risque de décompression) et avoir un régime alimentaire équilibré. Les bananes fournissent une quantité élevée de potassium si vous pensez en avoir besoin. Si vous avez souvent des crampes dans un groupe de muscles bien particulier, vous devez faire de l’exercice dans le but de développer ces muscles.

Ces dernières années, des preuves grandissantes ont prouvé qu’administrer de l’oxygène en urgence était un des gestes de premiers secours les plus important pour un plongeur supposé souffrir de mal de décompression, de sur détente pulmonaire aiguë ou de quasi-noyade. Des cas médicaux historiques ont montré de manière répétitive que l’administration rapide d’oxygène peut dramatiquement changer la condition immédiate du patient et donc le traitement qui suivra. Vous pourrez en apprendre plus sur ces conditions et l’administration d’oxygène plus tard ; pour le moment, penchons-nous sur l’équipement adéquate d’oxygène d’urgence utilisé par les plongeurs sauveteurs.

L’équipement d’oxygène d’urgence se distincte en trois catégories primaires : unité de valve à la demande non-substantive, unité de courant continu et unité de pression positive substantive. En général, les plongeurs sauveteurs utilisent les deux premières ; l’utilisateur de ce genre de matériel doit détenir un niveau spécial d’entraînement au secours paramédical car il peut blesser le patient en cas de mauvaise utilisation. Une unité de valve à la demande non-substantive et les unités de courant continu sont adéquates pour les sauvetages en plongée à Bali.

Les unités de valve à la demande non-substantive opèrent de manière similaire à votre régulateur d’air. L’oxygène est fourni seulement lorsque le plongeur respire afin de minimiser les pertes, avec un masque de qualité, 100% de l’oxygène peut être délivré. Additionnellement, a sauveteur peut respirer par une unité de valve à la demande non-substantive et ventiler un patient ne respirant plus avec une haute concentration en oxygène (le corp consomme seulement une petite fraction de l’oxygène à chaque respiration). Les premiers secours pour accidents de plongée à Bali appellent les sauveteurs à délivrer l’oxygène le plus concentré possible le plus longtemps possible, faisant des unités de valve à la demande non-substantive le meilleur choix de matériel pour les plongeurs sauveteurs.

Les unités de flot continu fournissent de l’oxygène continuellement. De ce fait, elles gaspillent plus que les unités de valve à la demande non-substantive. Les unités de flots continus fixes délivrent généralement 6 à 10 litres d’oxygène par minute ; les ajustables peuvent délivrer jusqu’à 25 litres par minute. Avec une circulation continue (15 litres par minute est recommandé) et un masque non-respiratoire équipé d’un sac de réservoir, les unités de flot continu peut délivrer jusqu’à plus de 90% d’oxygène, mais avec un taux faible de courant et/ou un masque inadéquate, la concentration peut descendre jusqu’à moins de 60%.

En utilisant un masque de poche, vous pouvez ventiler un patient qui ne respire plus grâce à de l’air partiellement oxygénée en utilisant une unité de flot continu (nous vous en disons plus à propos des masques de poche et de la respiration de secours dans les articles suivants). La plupart des unités de valve à la demande non-substantives ont des régulateurs multifonctions qui peuvent être utilisés en flot continu dans le but de ne pas perdre ce bénéfice.

DIVING EMERGENCY OXYGEN 3

Emergency oxygen comes in differing tank sizes, and internationally, you may encounter different valve configurations, so it’s a good idea to check the local standards when traveling. Ideally, carry a big enough supply to keep a patient on pure 0xygen until in the hands of emergency medical care. However, some very remote dive destinations may make this impractical or impossible; carry as much oxygen as you reasonably can. Some oxygen is better than none at all. For general purposes, 637 liters of oxygen (22.5 cubic feet; even imperial system countries usually measure medical oxygen in liters), can be expected to last approximately 40 to 50 minutes, depending upon whether used with a non resuscitator demand valve or continuous flow.

Like your first aid kit, your oxygen equipment needs a case that can withstand the rigors of diving, ideally one in which you can store your equipment set up and ready to go. Most commercially available oxygen systems for Scuba divers come equipped with a suitable case. Most airlines won’t let you bring a pressurized oxygen tank aboard the plane when you travel. If you frequent distant destinations that may not have oxygen on site (i.e., remote locations that lack  Bali scuba dive resorts) you can also get systems that have everything except the oxygen tank. Instead, you rent the oxygen tank at your destination and bring it to the dive site.

Sur un bateau de plongée balinais ainsi que sur la plupart des bateaux privés, vous aurez surement besoin de l’aide d’une radio maritime. D’après le protocole international pour bénéficier d’une aide immédiate d’urgence lors de votre plongée à Bali : branchez vous sur la fréquence 16 de votre radio (fréquence de détresse).

Transmettez mayday, mayday, mayday. C’est … (le nom de votre bateau et numéro d’enregistrement) Nous sommes… (donnez votre position le plus précisément possible, latitude/longitude ou repère). Nous avons un plongeur blessé qui a besoin d’une aide médicale immédiate et nous demandons une assistance. Attendez une réponse 2 ou 3 minutes avant de retenter un appel.

En fonction de votre localisation, des gardes côtes locaux devraient vous répondre. Sinon, vous devriez recevoir des réponses d’autres bateaux prêts à vous apporter leur aide. Les autorités locales vous transmettront à une autre fréquence pour ne pas interrompre votre communication et garder la fréquence 16 disponible.

Répétez la chaîne indiquée puis changez. Après avoir changé, transmettez, (autorité compétente), c’est (le nom de votre bateau). Toujours nommé qui vous appelez en premier et qui vous êtes ensuite. Notez que les appels de détresse mayday peuvent uniquement être utilisé pour les urgences où une vie est en danger.

La performance qualifie la manière dont vous gérez les problèmes lors de votre plongée s’ils arrivent malgré votre préparation et les étapes de prévention que vous avez suivies. Votre performance peut faire la différence que votre problème soit un contretemps ou qu’il dégénère en urgence totale. Votre performance implique donc une réaction correcte, calme et décisive même s’il vous paraît n’avoir que quelques secondes pour prendre une décision et agir.

Premièrement, arrêtez ce que vous êtes en train de faire. En second, continuez de respirer normalement. Cela vous aidera à rester calme et clair dans votre réflexion. Troisièmement, pensez à la manière la plus directe et simple d’agir et corriger votre problème.

 

Si votre réaction n’arrange pas la situation après un ou deux essais, recommencez : arrêtez-vous, respirez, réfléchissez et agissez. Ces quatre étapes énoncées ont l’air d’avoir besoin de temps mais ne prennent qu’un instant en réalité. Le plus important, en vous entraînant à les suivre, vous écartez la possibilité de réagir aveuglément et instinctivement ce qui est la plupart du temps inefficace ou empire la situation. Grâce à de la pratique et de l’entraînement comme vous les recevez lors de ces cours, et en répétant mentalement comment répondre à diverses situations, vous serez capable d’agir correctement, de manière décisive et calme en faisant face au problème.

Une nouvelle fois, votre entraînement prioritaire à la formation de plongeur sauveteur a posé les fondations pour une performance adéquate au moment de faire face à de nombreuses situations où vous vous retrouverez confronté à votre propre sauvetage. Par exemple, vous êtes familier à l’établissement de votre flottabilité à la surface en gonflant votre BCD ou en vous débarrassant de vos poids. Vous avez développé votre contrôle de consommation d’air donc vous êtes capable de respirer grâce à de petites quantités d’eau dans votre tuba ou régulateur, et vous connaissez les notions de base pour votre propre sauvetage telles que supprimer vos crampes. Forcément, vous allez vouloir pratiquer ces dernières et d’autres compétences de self-sauvetage périodiquement dans le but de les garder affûtées, et en tant que plongeur sauveteur, vous devez être familier à d’autres réflexions de self-sauvetage.

Le stress physique est produit par les forces exercées sur le corps du plongeur lorsqu’elles approchent ou excèdent ses limites physiques. Les conséquences de ce stress sont le refroidissement du corps, le mal de mer, narcose à l’azote, fatigue, pathologie ou blessures, consommation de drogues ou d’alcools, inconfort et réduction de la mobilité causée par le mauvais ajustement de l’équipement. Ce stress peut aussi provenir de la condition physique du plongeur ; par exemple, une longue marche en étant tout équipé va moins stressé un plongeur en bonne condition plutôt qu’une personne ne faisant pas d’exercices régulièrement.

En eau froide, un plongeur en combinaison peut développer de l’hypothermie après une longue période en plongée alors que d’un autre côté quelqu’un dans un combinaison sèche n’en souffrira pas. Les facteurs de stress qui peuvent affecter un plongeur un jour peuvent en créer de nouveaux le jour d’après. Par exemple, un plongeur peut être capable d’effectuer une nage de longue durée sans difficulté mais peut par la suite développer des crampes aux jambes dû tout une déshydratation partielle.

 

Le stress physique peut aussi être plus subtil, comme un masque qui fuit continuellement et met le plongeur dans une situation inconfortable causant une pression sur les sinus. Les désagréments tels que celui-ci peuvent distraire le plongeur, en causant parfois de la déconcentration et l’obligeant à négliger des facteurs extérieurs importants, qui peuvent ensuite mener à un plus grave problème.

Il n’y a aucun moyen d’éliminer la plupart des potentielles causes de stress physique causés lors d’une plongée par l’environnement de cette plongée comme le froid, la marche sur la plage, un bateau en marche, une longue distance à nager jusqu’au site de plongée à Bali. Prévenir ce stress plutôt que de mentir au plongeur qui par exemple porte une protection convenable, est en bonne forme physique, ne prend aucun traitement médical, ou est capable de nager sur longues distances à un rythme détendu. Si des conditions existent au-delà des capacités physiques du plongeur, celui-ci devra annuler sa plongée à Bali. De plus, en tant que plongeur sauveteur PADI, réaliser au préalable qu’un plongeur (incluant vous même) peut ne pas se rendre compte qu’il va devoir pousser voire aller au-delà de ses capacités physiques jusqu’à un stress excessif est primordial. Le premier danger avec le stress physique étant, de ce fait, est de ne pas en reconnaître ses effets.

Bien qu’une unité de valve à la demande non-substantive partage les caractéristiques de l’équipement de plongée habituel, il faut prendre en considération des manipulations différentes de votre équipement de plongée à Bali. En effet, l’oxygène pur peut transformer un matériel non-inflammable en combustible ou même explosif. Grâce à une bonne manipulation, le système d’oxygène peut rester à proximité en parfaite sécurité. Gardez juste ces points en tête : gardez votre unité propre, dans sa boite, en particulier pour éviter le contact avec la graisse, l’huile ou encore l’huile de silicone. N’essayez jamais de lubrifier votre équipement d’oxygène de plongée. L’oxygène pur ne peut entrer en contact qu’avec un nettoyant et des matériaux spécifiques.

Ouvrez toujours votre valve d’oxygène délicatement afin de pressuriser l’unité doucement. Une pressurisation rapide créer une chaleur qui peut déclencher un feu si n’importe quel matériel a contaminé l’équipement. Gardez votre unité assemblée dans le but de minimiser les possibilités pour les contaminants de rentrer. Si possible lavez-vous les mains avant de prendre votre équipement de plongée en main. En cas d’urgence, essayez au moins d’écarter toute huile ou graisse (inclut aussi les crèmes et huiles solaires).

N’essayez jamais de nettoyer votre équipement vous même. L’entretien des unités d’oxygène de plongée on besoin de nettoyeurs et procédures bien spéciaux. Si votre équipement est mouillé ou contaminé de n’importe quelle manière, il a besoin service de nettoyage professionnel par quelqu’un entraîné spécifiquement à travailler avec du matériel d’oxygène médical. Pensez toujours à éteindre toutes sources de flamme (même votre cigarette) avant de déployer votre oxygène. Utiliser votre équipement le plus loin possible d’engins, essence ou gasoil ou tout combustible, et de préférence dans un endroit ventilé.

En parlant logiquement, très peu voir aucun plongeur ne préfèrerai avoir un accident plus que de perdre la face devant ses camarades de plongée. Au niveau émotionnel, la pression de ses compagnons peut être très puissante sur un plongeur, parfois diriger les gens à faire certaines choses qu’ils ne feraient généralement pas en tant que plongeurs peut mener à un accident. En tant que plongeur-sauveteur, vous pouvez aider à prévenir ce genre de stress en présentant le bon exemple. Si vous ne vous sentez pas à l’aise de faire une plongée à Bali, cela montre aux autres qu’il n’y a aucune honte d’être un plongeur prévoyant et donc intelligent.

Certaines communautés de plongée à Bali, spécialement les plongeurs en grotte, applique cette ligne de conduite : n’importe quel plongeur peut arrêter sa plongée à Bali à n’importe quel moment pour n’importe quelle raison sans aucune explication. Lorsque vous acceptez cela, la pression de vos pairs disparaît dès lors que le plongeur n’a pas peur de parler et d’indiquer qu’il ne se sent pas bien de faire sa plongée à Bali. En adoptant cette mentalité, la pression des pairs se transforme en force positive qui aide le plongeur à se sentir plus en sécurité.

Finalement, une manière simple d’annuler ou arrêter votre plongée à Bali sans se sentir embarrassé est de signaler ou dire “Je n’arrive pas à égaliser”. Après tout, qui mieux qu’un plongeur peut vous comprendre ?

Depuis que vous apprenez à plonger avec un masque de poche depuis votre cours de plongeur-sauveteur PADI, vous allez vouloir désinfecter votre masque avant de le passer d’une personne à l’autre.

Le moyen le plus facile pour cela est de le faire tremper pendant au moins une minute dans une solution désinfectante de 50 millilitres d’eau de javel et 4.5 litres d’eau. Rincez le masque ensuite dans de l’eau fraîche puis faites-le sécher en le secouant. Essuyez tout excès d’eau avec une serviette propre.

Vous pouvez aussi utiliser cette technique sur d’autres équipement en plastique, comme votre masque non-ventilé utilisé pour les système d’oxygène substantif. N’essayez jamais de le nettoyer avec un quelconque système comprenant de l’oxygène, même le masque.

Comme mentionné précédemment, vous pouvez utiliser un masque de poche, aussi connu sous le nom de masque substantif ou encore comme un masque permettant de fournir de l’oxygène à un patient qui ne respire plus. C’est l’un des trois usages qui ont fait de lui un masque hautement recommandé pour l’équipement d’un sauveteur-plongeur.

Comme mentionné précédemment, vous pouvez utiliser un masque de poche, aussi connu sous le nom de masque substantif ou encore comme un masque permettant de fournir de l’oxygène à un patient qui ne respire plus. C’est l’un des trois usages qui ont fait de lui un masque hautement recommandé pour l’équipement d’un sauveteur-plongeur.

The third reason you’ll La troisième raison pour laquelle vous allez vouloir un masque de poche en tant que plongeur-sauveteur PADI dans le but de pouvoir fournir de l’oxygène à une victime. Vous verrez que l’utilisation du masque de poche est l’une des méthodes les plus efficaces pour procéder à ce genre de sauvetage. Sous la supervision de votre instructeur, vous pratiquerez des sauvetages à l’aide de votre masque de poche au cours de votre cours de sauveteur-plongeur PADI.

Une fois que vous aurez découvert à quel point votre masque de poche minimise vos efforts lors d’un sauvetage, vous voudrez faire de lui partie intégrante de votre équipement de plongée. La plupart des types de masques tiennent facilement dans votre poche de poids (ils peuvent souvent tomber en les rangeant ici) grâce à un strap de maintien qui en fait le tour. Certains plongeurs préfèrent garder le leur au bout d’un court cordon afin de minimiser les chances de perte. Rincez simplement votre masque après votre plongée à Bali avec le reste de votre équipement, et vous pourrez le garder pendant des années.

L’auto-dépendance et auto-sauvetage commence tout d’abord par vous préparer vous-même physiquement et mentalement et à préparer votre équipement de plongée.

Votre préparation physique comprend de vous garder en bonnes conditions et santé pour votre plongée à Bali, ce qui inclut avoir une alimentation équilibrée, approprié vos exercices physiques et maintenir vos compétences en plongée efficaces. La préparation mentale quant à elle implique d’avoir confiance en vous et en vos aptitudes et à bien vous sentir en ce qui concerne votre prochaine sortie plongée à Bali. Pour cela, de l’expérience est nécessaire dans le but de ne pas dépasser vos limites.

Vous préparez ensuite votre équipement en vous familiarisant avec celui-ci, ainsi vous devez l’inspecter dans le but de prévenir de potentiels problèmes et donc le maintenir propre et hygiénique. La préparation de votre équipement avec lequel vous vous familiariser passe aussi la une familiarisation avec l’équipement de votre compagnon de plongée, sans oublier les poids, les sources d’air alternées et la détention de dispositifs de signalement comme des saucisses de sécurité, un sifflet qui vous accompagne dans toute vos plongées à Bali.

Vous pouvez en apprendre plus à propos des différents types d’équipement de plongée, leurs fonctions et comment les entretenir et les ajuster convenablement grâce au cours PADI spécialiste d’équipement.

Comme mentionné dans les rubriques précédentes, la compétence de base d’un sauveteur-plongeur est de prévenir les problèmes avant qu’ils aient le temps d’apparaître. Vous pouvez éviter ces problèmes en entretenant régulièrement votre équipement et en l’inspectant minutieusement avant chacune de vos sorties plongée en ajustant ou remplaçant tout matériel usagé ou dont le fonctionnement est altéré. Vous prévenez aussi les problèmes en pensant au préalable aux potentielles situations à risque qu’il pourrait vous arriver. Par exemple, si vous nager contre un léger courant, vous devez réaliser que votre dépense d’air est plus rapide que d’habitude.

Pour éviter ce problème, vous prévoyez de rester prêt du rivage, vérifier votre niveau d’air fréquemment vous menez vers la sortie avec une réserve d’air plus grande que prévu.

La prévention passe notamment par la reconnaissance des problèmes comme le surmenage, l’hypothermie, les vertiges, etc. assez tôt pour vous en débarrasser. Par exemple, si vous êtes en train de nager à fort contre-courant, vous trouverez surement que vous avez du mal à respirer et devenez épuisé. En arrêtant immédiatement et en vous reposant, vous maîtrisez le problème avant d’avoir besoin de l’assistance de votre compagnon de plongée ou avant que ce problème ne devienne une situation sérieusement dangereuse pour vous.

Prevention also means recognizing problems like overexertion, hypothermia, vertigo, etc., soon enough to head them off. For example, if you were swimming hard against surge, you may find yourself breathing hard and becoming overexerted. By stopping immediately and resting, you prevent the problem from growing into a serious situation that might require your buddy to assist you.

Le stress psychologique est un stress dû aux réactions d’un plongeur pensant percevoir une menace dans son environnement, y compris détectant de possibles préjudices corporels ou menaces pour la confiance en soi. Les convictions et attitudes du plongeur jouent un rôle majeur sur le stress psychologique de celui-ci.

Cette forme de stress résulte souvent de stress physique. Par exemple, un plongeur peut devenir très fatigué après un long moment à nager ou en combattant une de ces peurs, qu’il pourrait ne pas réussir à retourner jusqu’au bateau ou encore manquer d’air avant la fin de sa plongée. L’épuisement, qui peut amener le plongeur à demander de l’air plus rapidement que ce que son régulateur ne peut en fournir, peut se retrouver confronter à ses peurs de manquer d’air ou de suffocation. N’importe quelle forme de stress physique peut provoquer du stress psychologique si il entraîne de la peur ou de l’anxiété concernant peu importe ce que le plongeur peut se retrouver à gérer face à une situation inhabituelle.

Le stress psychologique peut aussi impliquer des réactions internes, incluant une charge excessive d’actions (le plongeur essaie d’en faire trop à la fois), une pression de la part de ses camarades ou encore la perception qu’une plongée à Bali est au-dessus des capacités d’un plongeur. Le stress psychologique peut aussi arriver lorsque, à cause de la distance parcourue ou de l’argent dépensé, un plongeur se met lui même une pression supplémentaire pour sa plongée à Bali alors qu’il ne devrait pas.

 

Comme pour le stress physique, les effets du stress psychologique dépendent du plongeur. Par exemple, supposons que trois plongeurs sont prêts à faire leur toute première plongée dans un courant à Bali avec un groupe. Les trois ont des peurs ont peur de se faire emporter par le courant, et tous les trois ne sont pas sur d’être prêt à plonger.

La première réaction du plongeur est de parler à son guide de plongée afin de répéter les procédures techniques. Après avoir entendu ces procédures de nouveau, le plongeur va en conclure que plongée à Bali est une toute nouvelle expérience dont il se sent capable. Dans ce cas, le plongeur réagit par la recherche de plus de connaissance, ce qui change son comportement, réduit ses peurs et lui fait prendre confiance en lui et en ses capacités.

Le second plongeur quant à lui, annonce qu’il a reconsidéré son envie d’aller plonger à Bali et décide de ne plus le faire. Ce plongeur ne pense pas qu’il perd la face en réagissant de cette manière ou pense que le risque d’une plongée à Bali l’emporte sur l’embarras que sa réaction pourrait provoquer. Dans ce cas, le guide de plongée rassurera le plongeur en faisant partir son stress.

Les procédures du guide de plongée ne rassurent pas le troisième plongeur ; de plus, ce plongeur ne veut pas perdre la face devant des compagnons de plongée. Dans ce cas, le plongeur continu de se préparer pour sa plongée à Bali mais le stress continu d’augmenter sans avoir pu être géré.

 

Le réel risque du stress psychologique est de mentir sur ses manifestations avec le plongeur. Plus le stress augmente, le plongeur ressent de l’anxiété, devient distrait et ses capacités s’en trouvent altérées. Il risque de voir son attention diminuée et ses perceptions rétrécies, ce qui lui cause de l’inquiétude pour des choses qui lui paraissent anodines normalement. Cela peut déclencher les plus petites peurs du plongeur. Par exemple, le troisième plongeur, dans l’exemple précédent, fait l’expérience d’une réduction perceptuelle et ne relève pas que la lanière de sa palme est usée. Après être entré dans l’eau, la lanière se rompt et il perd sa palme en ayant des difficultés à rejoindre la ligne de nage ; avec une palme manquante il la rate donc et se retrouve emporté par le courant. Maintenant que ses peurs se sont réalisées, sa réponse psychologique était prévisible, il développe donc d’autres peurs, augmente son anxiété encore davantage, probablement jusqu’au point de paniquer avant que quelqu’un ou quelque chose n’intervienne.

Le stress psychologique déclenche des réponses psychologiques dans le corps du plongeur, qui peuvent être eux-mêmes des déclencheurs de stress physiques. Le plongeur peut donc avoir des nausées, vomissements, diarrhée ou besoin d’uriner. Il peut devenir tendu, avoir des tremblements musculaires ou maux de tête. Son adrénaline peut faire s’accélérer son cœur ou causer un battement irrégulier et des douleurs thoraciques. Sa respiration accélère aussi. Si le plongeur est sous l’eau, son taux de respiration peut excéder ce que délivre le régulateur, créant une sensation de suffocation. A la surface, le plongeur peut hyper ventiler et avoir des problèmes à respirer dans son tuba ou lors de la confrontation avec les vagues. Cela augmente encore plus son anxiété, déclenche une accélération de la respiration et développe la sensation du plongeur de ne pas avoir assez d’air.

 

Le résultat de ce cercle vicieux de stress physique et psychologique sont : augmenter les peurs, une respiration superficielle et inutile et des réponses au stress involontaires. Plus le stress augmente, plus les émotions du plongeur vont aller au-delà de ce qu’il est habituellement capable de gérer, il va donc paniquer, abandonner les nouvelles compétences apprises lors de sa préparation qui seront considérées comme inconnues tout comme ces réactions instinctives. Tous ces facteurs vont l’épuiser et, à moins que les secours n’interviennent, provoquer un accident, comme démontré dans la charte de gestion du stress. Notez que le stress physique dû au surmenage mène à ce cercle psychologique car le plongeur va faire l’expérience du manque d’oxygène, le menant à un stress émotionnel, à l’élévation du rythme de sa respiration (réponse au stress), de l’anxiété, etc. Si le plongeur ne reconnaît pas ce qu’il se passe, ce qui a commencé par une nage difficile peut se terminer par une remontée irrationnelle et en panique.

Une autre réponse possible à un stress important arrive lorsqu’une urgence n’a pas lieu. Si la menace perçue est spécifique et immédiate, quand rien n’arrive le plongeur reste calme. Autrement, quand la menace perçue est continue et/ou générale, le plongeur reste stressé – anticipe une urgence qui n’a pas lieu d’être – avec des possibles tremblements, une respiration irrégulière et une fréquence cardiaque élevée. Cet état d’anxiété peut compromettre les fonctions motrices du plongeur et garder le plongeur distrait, dans un état où ces perceptions sont diminuées jusqu’à ce que sa plongée à Bali se termine ou que la menace perçue passe. Une fois encore, le réel risque est que le plongeur réduise ses réponses instinctives pendant sa plongée à Bali plutôt qu’en percevant les menaces.

  • Parce que le stress peut jouer un rôle primordial dans la complication éventuelle de la situation d’un plongeur. En tant que plongeur sauveteur, vous devez apprendre à reconnaître toute situation de stress, que ce soit le votre ou celui des autres plongeurs qui vous accompagnent. Cela vous permettra de prévenir les urgences provoquant le stress et de gérer ces urgences le plus efficacement possible lorsqu’elles apparaissent.

    Pour reconnaître le stress, vous devez suivre 2 étapes générales. Premièrement, observez les caractéristiques de l’attitude du plongeur qui indique que celui-ci est stressé. Habituellement mais pas toujours, ces caractéristiques se manifestent par elles mêmes à travers le comportement du plongeur. La plupart du temps, vous demanderez simplement au plongeur d’après ce que vous observez.

     
 

Parce que le stress peut jouer un rôle primordial dans la complication éventuelle de la situation d’un plongeur. En tant que plongeur sauveteur, vous devez apprendre à reconnaître toute situation de stress, que ce soit le votre ou celui des autres plongeurs qui vous accompagnent. Cela vous permettra de prévenir les urgences provoquant le stress et de gérer ces urgences le plus efficacement possible lorsqu’elles apparaissent.

Pour reconnaître le stress, vous devez suivre 2 étapes générales. Premièrement, observez les caractéristiques de l’attitude du plongeur qui indique que celui-ci est stressé. Habituellement mais pas toujours, ces caractéristiques se manifestent par elles mêmes à travers le comportement du plongeur. La plupart du temps, vous demanderez simplement au plongeur d’après ce que vous observez.

Bien que des problèmes mineurs peuvent apparaître lors de nombreuses plongée à Bali, ils ne provoquent pas tous forcément à d’importantes causes de stress anxiété ou panique pour le plongeur. Grâce à leur entraînement et expérience, les plongeurs, pour la majorité, savent prendre leur stress en main pour la majorité des problèmes qu’ils peuvent rencontrer au cours de leur plongée. En faisant face à un problème, le plongeur doit normalement penser à différentes solutions basées sur ce qu’ils ont appris au préalable dans le but de résoudre leur problème le plus rapidement possible. Cette réflexion suit le protocole conseillé dans la charte de gestion du stress. Lorsque le plongeur suit une autre voie, votre but est de rompre le cercle vicieux des réactions instinctives, du stress et des réponses au stress et à l’anxiété afin de le remplacer par l’arrêt du plongeur afin qu’il respire, reprenne ses esprits, pense et agit de la meilleure manière possible.

Le meilleur endroit pour gérer le stress est sur le bateau ou sur le rivage, avant la plongée à Bali. Si, basé sur des observations et différentes questions posées avec tact, vous vous rendez compte que le plongeur fait face à un stress important, vous devez encourager ce dernier à appliquer une réflexion analytique pour l’aider à trouver une solution l’aidant à combattre son stress. Parlez lui gentiment, en évitant d’avoir l’air de porter un jugement sur la réaction du plongeur ni en donnant un avis cru sur son comportement. Il est souvent efficace de demander (et non pas de dire) au plongeur plusieurs questions sur son ressenti qui vous guideront facilement à des solutions pour révoquer son stress.​

 

Vous commencerez surement par demander au plongeur si quelque chose le dérange dans le cadre des sa plongée à Bali. S’il vous répond que oui, continuez en lui demandant ce qui l’inquiète et en l’aidant étape par étape à trouver la solution adéquate qui l’aidera à se sentir mieux. Cela peut vouloir dire que vous donnez au plongeur de nouvelles informations qui vont le soulager de ses inquiétudes, ou cela peut aussi vouloir dire que le plongeur va devenir à l’aise dans l’avortement de sa plongée à Bali. Lors de votre intervention, faites attention d’éviter de l’encourager car cela peut être interprété comme une pression des pairs.

Si vous faites face à du stress sous l’eau, arrêtez le plongeur sous prétexte que vous avez besoin de vous arrêter s’il le faut. Cet arrêt obligera le plongeur à respirer plus normalement. Signalez “Tout va bien?” ou une question plus spécifique au stress que vous suspectez chez le plongeur. S’il vous répond qu’il ne va pas bien, vous êtes sur la bonne piste; suivez la situation de près en identifiant le problème qui vous mènera à la réflexion d’une solution. En revanche, si le plongeur vous indique que tout va bien, vous aurez besoin de déterminer si vous vous trompiez réellement ou si le plongeur ne se sent pas assez à l’aise pour avouer son problème.

En étant constamment en alerte d’un moindre signe de stress, vous pouvez prendre en main de nombreux problèmes causés par ce stress avant qu’ils ne se transforment en accident. Cependant, le stress se manifeste de tellement différentes manières et peut provenir de beaucoup trop de sources différentes pour penser que n’importe qui, peut importe ces capacités, soit capable de prévenir n’importe quelle panique ou d’urgence ressentie lors d’une plongée à Bali.

Lors du programme PADI EFR Soins primaires d’urgence, vous apprenez à commencer n’importe quelle procédure de premiers secours (CPR) en indiquant au patient “Je suis entraîné aux procédures d’urgence, je peux vous aider” même s’il est inconscient. Il y a différentes raisons pour lesquelles cela aide :

Cela rassure un patient toujours conscient. Cette déclaration a été développé par des thérapeutes spécialistes dans l’élaboration d’affirmations apaisantes et constructives. Cela assure au patient que vous savez ce que vous faites, et que vous êtes qualifié pour lui venir en aide. Vous allez, grâce à ça, l’aider à se détendre et à coopérer avec vous. Les expériences montrent que des patients en apparence inconscient peuvent entendre ce que vous leur dites, de ce fait votre parole peut rassurer quelqu’un d’apparence incapable de vous entendre.  

Dans un même temps, vous alertez les témoins de l’accident que vous êtes qualifié et prêt à aider. Généralement, les spectateurs ne savants pas quoi faire ni comment agir vont suivre vos initiatives afin que vous puissiez gérer la situation plus efficacement. Votre déclaration aide le personnel d’aide des urgences à reconnaître que vous suivez le même protocole de premiers secours qu’eux.

Annoncer cette affirmation ravive votre mémoire instinctivement et vous aide à appliquer rapidement ce pour quoi vous avez été entraîné lors de votre programme EFR. En dehors de cela, le programme EFR entraîne les sauveteurs à répondre aux remarques fréquentes : j’énonce la déclaration procédure d’urgence et tout me revient en tête. Je sais quoi faire sans même y réfléchir. Il existe différentes variantes à cette déclaration, toutes avec le même objectif : rassurer le patient et vous aidez à gagner le contrôle de la situation avant l’arrivée des aides médicales d’urgence.